Coaching de leaders, managers & dirigeants – Méditation de pleine conscience – MBSR – Process Communication – Communication non Violente – Entreprises & particuliers – Lille, France – En présenciel et online
La pratique de la méditation se fonde sur nos qualités de coeur, et en particulier les valeurs de générosité et de partage. Ceci constitue le fondement de mon éthique et de mon action. Le contexte actuel amène des difficultés en particulier financières, des incertitudes et des peurs nouvelles. Depuis quelques années la mindfulness se développe (et c’est bien !) mais pas toujours de manières éthique : il est en effet tentant de « profiter » de l’opportunité de la souffrance des autres pour s’enrichir soi.
Il s’agit donc de trouver un nouvel équilibre dans tout ce contexte changeant, permettant à la fois l’accès à la pratique pour toutes et tous et une juste rémunération pour l’instructeur. Découvrez en bas de cette page les décisions que j’ai prises pour rendre la pleine conscience accessible à toutes et à tous !
Lorsque j’ai commencé à pratiquer la méditation, je me suis rendu compte combien cette pratique pouvait être bénéfique pour moi : à cette époque, vers 2005, j’étais perdu dans ma vie, cherchant un sens, une direction, ne savait pas quoi décider…
La pratique m’a soutenu, éclairé. Et la méditation m’a sauvé la vie, à plusieurs reprises – j’en parle de temps en temps durant les réunions d’information MBSR.
J’ai toujours reconnu dans mes enseignants une grande générosité. J’ai compris, il y a 7-8 ans, qu’ils étaient eux-même l’incarnation de cette pratique. Ce qu’ils incarnent me bouleverse et me nourrit.
En 2014, j’ai décidé de partager ma pratique afin d’en diffuser, du mieux que je peux, le plus largement possible les bienfaits. Ma posture n’est pas d’enseigner la méditation, de former à la méditation, de coacher, mais de partager et de rendre possible l’accès à la pratique.
Partager la pratique signifie, pour moi, proposer des opportunités pour que chacune et chacun puisse s’ouvrir à son propre coeur, prendre soin de lui, retrouver du sens et éclairer son chemin. Cela signifie également m’engager auprès de tous indifféremment et souvent bénévolement, en particulier de ceux qui sont « invisibles » (détenus, sdf…)
La pratique est généreuse en ce qu’elle offre : la possibilité de se reconnecter au présent, à s’engager plus pleinement sur son chemin, à laisser apparaître les élans, s’affranchir de son ego, se donner de la force et du courage quand nous en avons besoin, et, peut être le plus important, à renouer avec nos qualités de coeur (compassion, bienveillance, amour, générosité…).
Durant les stages et programmes que j’anime depuis 2014, j’ai eu la chance de rencontrer beaucoup de personnes en souffrance, en difficulté (et aussi des personnes qui vont très bien !). Conformément à ma mission, j’essaie du mieux que je peux de les soutenir et de les accompagner sur un chemin de transformation et de libération.
Vous êtes nombreux.ses à avoir subi une baisse de revenu en 2020. Que vous soyez salarié, ou indépendant, vous avez pu expérimenter cette double réalité : ne pas savoir comment finir le mois et avoir besoin/envie de vous poser et de faire le point.
Ce contexte impose, encore plus, une approche généreuse de la pratique de la pleine conscience.
La pratique de la pleine conscience se développe. Elle répond à un besoin profond de chacun de se retrouver, de redonner un sens juste à sa vie, à faire face aux difficultés de l’existence, à clarifier les choix qui s’offrent à nous.
Hors, ce développement s’accompagne inévitablement de recherche de profit et de banalisation, voire de dissolution de l’esprit même de la pratique. Dans le profit, il y a plus d’intéressement que de générosité.
Les offres de pratiques voient leurs tarifs exploser. Par exemple, un programme MBSR, d’une très grande valeur, est parfois proposé à 500, voire 650 euros. Certaines retraites silencieuses voient leur tarif grimper à plus de 1000 euros les 5 jours. Le développement peut amener à un certain élitisme et en limiter l’accès.
Bien entendu, un instructeur doit aussi vivre de ses propositions, même modestement. Aussi, il est parfois difficile de trouver le juste équilibre. Nos charges sont élevées, nos formations coûteuses (malheureusement).
Parfois, nous devons, en tant qu’instructeur, nous « battre » intérieurement pour trouver l’équilibre entre ces charges lourdes, valoriser au juste tarif nos propositions et réservations dans la générosité et l’intégrité.
Pour ma part, ce qui m’anime est la générosité : lors de ma grande phase de dépression (6 mois à l’hôpital), j’ai pu redessiner ma mission : contribuer à un monde plus apaisé, plus solidaire, plus bienveillant, plus joyeux.
Aussi, j’ai pris plusieurs décisions importantes pour permettre à toutes et à tous de pratiquer :
Et au delà, des actions nécessaires :
Pour découvrir les activités que je propose, c’est ici !